Qu’est-ce qui est petit, jaune, ludique et qui procure du plaisir? J’ai nommé le canard en plastique. Sous ses airs innocents et son sourire figé, le petit canard n’arrête pas de faire parler de lui. Initialement conçue en caoutchouc, la figurine ne pouvait pas flotter, mais était plutôt utilisée comme un jouet à mâcher ou comme un instrument de chasse. Breveté en 1886 par George H. Nye, le canard doit sa création à l’invention du caoutchouc vulcanisé par Charles Goodyear à la fin du XIXe siècle. C’est en 1940 que le sculpteur américain d’origine géorgienne
Peter Ganine crée une sculpture de canard, qu’il fait alors breveter. Le jouet de bain flottant est produit et vendu à plus de 50 millions d’exemplaires. Popularisé dans les années 1970 grâce à l’émission Sesame Street, le canard prend vie dans les mains de la marionnette Ernie, qui lui consacre même une chanson: Rubber Duckie. Le palmipède connaît alors une popularité qui pousse un nombre toujours plus important de personnes à le collectionner sous toutes ses formes et qui conduit même le Guinness Book à créer une nouvelle catégorie. Mais il ne s’arrête pas là ! Depuis quelques années, il s’invite dans le bain de ces dames. En effet, le fabricant allemand de sextoys Fun Factory le commercialise sous forme de stimulateur clitoridien. Ce petit oiseau n’a pas fini de nous amuser!
Qu’est-ce qui est petit, jaune, ludique et qui procure du plaisir? J’ai nommé le canard en plastique. Sous ses airs innocents et son sourire figé, le petit canard n’arrête pas de faire parler de lui. Initialement conçue en caoutchouc, la figurine ne pouvait pas flotter, mais était plutôt utilisée comme un jouet à mâcher ou comme un instrument de chasse. Breveté en 1886 par George H. Nye, le canard doit sa création à l’invention du caoutchouc vulcanisé par Charles Goodyear à la fin du XIXe siècle. C’est en 1940 que le sculpteur américain d’origine géorgienne
Peter Ganine crée une sculpture de canard, qu’il fait alors breveter. Le jouet de bain flottant est produit et vendu à plus de 50 millions d’exemplaires. Popularisé dans les années 1970 grâce à l’émission Sesame Street, le canard prend vie dans les mains de la marionnette Ernie, qui lui consacre même une chanson: Rubber Duckie. Le palmipède connaît alors une popularité qui pousse un nombre toujours plus important de personnes à le collectionner sous toutes ses formes et qui conduit même le Guinness Book à créer une nouvelle catégorie. Mais il ne s’arrête pas là ! Depuis quelques années, il s’invite dans le bain de ces dames. En effet, le fabricant allemand de sextoys Fun Factory le commercialise sous forme de stimulateur clitoridien. Ce petit oiseau n’a pas fini de nous amuser!
En 2001, le tabloïd britannique The Sun a rapporté que la reine Elizabeth II avait dans sa salle de bains un canard en caoutchouc portant une couronne gonflable. L’animal aurait été repéré par un ouvrier qui repeignait la pièce en question. Une anecdote qui a entraîné une augmentation de 80% des ventes de canards en caoutchouc au Royaume-Uni pendant une courte période.
Suivez le Chat
A lire aussi
Et si les objets de Still Life #60 de Tom Wesselmann se retrouvaient dans notre besace ? Cet été, Le Chat Perché vous plonge dans l’univers insouciant des années 1970 avec des accessoires qui rappellent cette installation iconique. Considéré comme l’un des chefs de file du Pop Art, bien qu’il n’aimât pas cette étiquette, l’artiste américain a créé durant cette période des tableaux que l’on peut décrocher du mur, rendant de la sorte floue la frontière entre peinture et sculpture.
Saviez-vous que a chaise fourmi d’Arne Jacobsen a été initialement créée pour le réfectoire du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk, numéro un mondial de l’insuline?
Les murs de la galerie Gowen contemporary renferment une œuvre chargée d’histoire. Non, il ne s’agit pas d’une passementerie géante aux couleurs acidulées, mais bien d’un sèche-cheveux rétro réinterprété par Joana Vasconcelos. Cet objet culte, oublié sous nos latitudes, n’en est pas moins un symbole lié à la beauté noire en Afrique du Sud. Décryptage.
