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Retrouvez tous les articles du Chat Perché sur ce sujet.Avec Bonne baise d’été, Yannick Lambelet nous propose une vision du Paradis à la fois érotique et romantique. Créée pour l’exposition collective «Le monde clair des bienheureux.s.e.x.s» l’artiste suisse a dû reproduire une vision du paradis du peintre et poète estonien Elisàr von Kupffer, en ne connaissant ni l’oeuvre, ni son créateur. Il n’avait d’ailleurs pour référence qu’une description détaillée d’une scène attribuée à la toile d’Elisarion et un poème l’accompagnant. Comme dans la plupart des toiles de Lambelet, la peinture est composée d’un assemblage de plusieurs photos décontextualisées, créant ainsi une nouvelle image au sens bien différent de chaque objet initial. Ainsi, des éléments empruntés au monde du dessin animé et du cinéma deviennent sensuels. Dans Bonne baise d’été, la tête de licorne se transforme en un accessoire fétichiste. Les corps se parent de marguerites faisant penser à des emojis ayant souvent pour utilité de masquer les parties intimes sur les réseaux sociaux.
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
Avec South Africa, Transkei (1992), il est question d’un rituel de passage à l’âge adulte. Les garçons du peuple Xhosa, natifs de l’Etat du Tranksei, s’enduisent d’argile blanche et s’isolent durant plusieurs semaines pour ensuite assumer les responsabilités incombant à un homme. L’action de photographier ces traditions de longue date rend le travail de James Nachtwey encore plus engagé, sachant que durant l’apartheid, les habitants du Tranksei étaient privés de droit et de toute citoyenneté. Le fait de perdurer ce rituel constitue un véritable symbole de lutte politique.
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