Se asseoir avec les nouvelles images de Hans Andersson comme je l’ai fait, c’est s’exposer à quelque chose de profondément séduisant. Ils invitent à s’attarder, à les laisser devenir des objets de méditation. Et elles sont probablement le fruit d’une longue méditation, peut-être même de toute une vie.
Pour moi, les nouvelles œuvres évoquent des souvenirs de lieux lyriques, de lieux physiques et de chansons que je me suis rendu compte être enfouies en moi-même et qui me sont revenues comme une tempête chaude et parfumée, saturée de fleurs quand je m’y suis ouverte.
Eli Levén