Sadie Coles : Je suis en train de rédiger le texte pour la presse. Parlez-moi des processus que vous avez engagés pour faire les travaux Davies Street. Seth Price : On pourrait dire que les œuvres sont une combinaison de processus gestuels et mécaniques. Il y a un titre pour le spectacle ? Peut-être utiliser mon nom. SETH PRICE, c’est ça. Les outils numériques entrent en collision avec la peinture gestuelle dans ces tableaux. La collision est-elle le point ?C’est ce qui me permet d’entrer dans les tableaux. Il y a une friction qui vient quand on rejoint la rapidité et l’intuition de le corps, le geste d’un corps dans l’espace et le temps, et la lenteur du traitement, la délibération, l’étranger, l’abstrait la qualité, le contrôle extrême.
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Seth Price
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Dans la série Portraits Grandeur Nature, des tondi d’un mètre vingt en résine et époxy, Agnès Thurnauer féminise les noms d’artistes célèbres : Francis Bacon devient Francine Bacon, Marcel Duchamp Marcelle et ainsi de suite. Ses œuvres aux allures de badges mettent en lumière avec humour et mordant le manque de considération envers le travail des artistes féminines.
Parfois rose poudrée, diaphane, parfois luisante, la peau est par sa texture une réelle source d’inspiration pour les artistes. Explorée sous un angle abstrait, sensuel et rituel, voici quatre artistes qui ont su sublimer l’épiderme.
Chaque artiste à sa manière porte un message engagé grâce à son art, mais lorsque certains d’entre eux s’emparent de l’espace urbain, ce sont les insectes qui créent le code de la route et les pigeons qui volent la vedette aux personnages historiques !