Architecte et designer basée à Mexico, Frida Escobedo ne cesse donner une nouvelle vie aux espaces urbains oubliés. Qu’il s’agisse de logements, centres commerciaux ou installations d’art publique, elle met un point d’honneur à favoriser la cohabitation entre les habitants à travers divers projets culturels. Avec Système_01, présenté à l’exposition Open House, l’architecte s’inspire à la fois des sites archéologiques de Stonehenge et Nabta Playa de en Égypte. Avec cette structure circulaire, Frida Escobedo se réfère également aux tipis indiens et aux huttes lacustres.
Le Chat Perché
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Disorder 01 de Mauren Brodbeck
Mauren Brodbeck traduit les maux de la terre dans Disorder 01 (2021). Ce paysage qu’elle imprime, scarifie à l’aide d’un rasoir, puis réimprime s’apparentent à un journal sismologique qui aurait pris l’apparence d’une image à la dynamique chaotique. La distorsion de l’image évoque des forces telluriques dont le contrôle nous échappe.
La prière aux mousaillons de Pierre et Gilles
Pour la première fois, le duo d’artistes français Pierre et Gilles, représentés par la galerie Templon, expose en Suède. Pour leur exposition intitulée Troubled Waters, les artistes se sont emparés du décor du vieux port entourant le Spritmuseum; à l’image romantique de la mer, du port et des marins s’oppose la surexploitation des ressources naturelles menaçant d’exterminer toute vie marine.
Les Horizons de Véronique Caye
Durant l’année 2020, Véronique Caye a filmé l’Atlantique, un océan aussi tumultueux et inconstant que la nature humaine. Chaque jour à la même heure, elle a capturé les vagues, les tempêtes, mais aussi les rayons du soleil venant se refléter sur cette vaste étendue d’eau entourant Belle-Île-en-Mer. Cet horizon dépouillé de tout obstacle, semble se rapprocher de ce qu’elle considère comme la vera icona. Une véritable obsession pour l’artiste scénariste qui cherche à l’atteindre une image dénuée de superflu, qui devient le vrai.
Votive figure de Marta Zgierska
Dans une esthétique épurée, tout de rose poudré, les photographies de l’artiste Marta Zgierska sont à la fois belles et dérangeantes. Dans une certaine fragilité, elle explore la féminité et ses codes actuels de manière inattendue. Un regard à la fois complice et critique sur l’iconographie féminine du 21ème siècle.
Bonne baise d’été de Yannick Lambelet
Avec Bonne baise d’été, Yannick Lambelet nous propose une vision du Paradis à la fois érotique et romantique. Créée pour l’exposition collective «Le monde clair des bienheureux.s.e.x.s» l’artiste suisse a dû reproduire une vision du paradis du peintre et poète estonien Elisàr von Kupffer, en ne connaissant ni l’oeuvre, ni son créateur. Il n’avait d’ailleurs pour référence qu’une description détaillée d’une scène attribuée à la toile d’Elisarion et un poème l’accompagnant. Comme dans la plupart des toiles de Lambelet, la peinture est composée d’un assemblage de plusieurs photos décontextualisées, créant ainsi une nouvelle image au sens bien différent de chaque objet initial. Ainsi, des éléments empruntés au monde du dessin animé et du cinéma deviennent sensuels. Dans Bonne baise d’été, la tête de licorne se transforme en un accessoire fétichiste. Les corps se parent de marguerites faisant penser à des emojis ayant souvent pour utilité de masquer les parties intimes sur les réseaux sociaux.
Meeting Sophie de Snezhana von Buedingen
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
Selfie d’Arvida Byström
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
« Je trace ma ligne calmement » de Claude Cortinovis
Dans le livre Je trace ma ligne et comble un vide, calmement de Claude Cortinovis, le café devient écriture. La boisson apparaît sous forme de trait sur un papier millimétré à la main par l’artiste. De l’encre mêlée à du café noir strie méticuleusement le papier. Ce travail, suite d’une série d’ouvrages ayant pour titre Je trace ma ligne… est un thème récurrent chez l’artiste. Ces traits représentent l’empreinte que l’on laisse sur Terre. Cela tombe bien, car le café favorise les rencontres, qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Ces rencontres peuvent à la fois concrétiser un projet ou mener à la filiation. Elles sont les gardiennes de la perpétuité de l’humanité.
Epiphany 21 de Daniel Orson Ybarra
Les oeuvres de Daniel Orson Ybarra semblent provenir d’une galaxie toute proche, voire parallèle. Il nous semble percevoir, à travers les lignes peintes, les mirages d’une autre réalité. Constituées de plusieurs couches, elles stimulent une illusion de profondeur.
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