Fétiches, utilitaires ou porte-bonheurs, les objets font partie intégrante de notre quotidien. Ils prennent vie grâce à l’intervention de l’artiste israélienne Etti Abergel qui les met en scène par le biais de ses installations. Tel un journal intime de son quotidien, ils symbolisent l’empreinte de la mémoire.
Le Chat Perché
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Post tenebras vanitas
Dans une esthétique épurée, tout de rose poudré, les photographies de l’artiste Marta Zgierska sont à la fois belles et dérangeantes. Dans une certaine fragilité, elle explore la féminité et ses codes actuels de manière inattendue. Un regard à la fois complice et critique sur l’iconographie féminine du 21ème siècle.
Hymne à l’amour
Il y a des moments où le hasard fait bien les choses, où les rencontres fortuites nous mènent à de fructueuses découvertes. Lors d’une escapade sur le quai d’Orsay, les œuvres de Mariam Haji ont tapé dans l’œil du Chat Perché. Coup de foudre immédiat! L’univers de l’artiste originaire du Bahreïn est une véritable ode à l’amour.
Chose Freedom, not Power
Il existe un lieu à Chêne-Bourg où les mots surgissent de terre parmi les plantes, où la poésie nous illumine. A la galerie Analix Forever, l’utopie est déjà installée. La nouvelle exposition de Robert Montgomery réveille en nous l’espoir et nous embarque dans une révolte définitivement poétique…
Affichage sauvage
Cet automne, l’artiste suisse Barbara Cardinale prend possession des murs du Club d’art contemporain. Avec ces silhouettes féminines aux têtes d’animaux, véritable hommage à la thériocéphalie, l’artiste joue avec les superpositions, au sens littéral comme au figuré!
L’objet du désir: Bleu, couleur des songes
De Prusse ou de Klein, le bleu habille les songes. Le Chat a sélectionné des oeuvres dans ces tonalités. Chaque mois, il vous fera part de ses coups de coeur. Avis aux collectionneurs! Septembre: Rêver.
L’été indien
Non, ce n’est pas fini! L’exposition collective estivale de la galerie Dubner Moderne se prolonge jusqu’en automne. Comme pour laisser un sursis à nos vacances, les artistes nous embarquent dans un voyage, afin de continuer à rêver…
Et… plouf! Olaf Breuning
Ambiance flower power à l’Hotel Standard de Miami. Lors de Art Basel en 2010, le spa Six Scents a mandaté l’artiste Olaf Breuning pour concevoir une installation. Faites l’amour, pas la guerre… dans le bassin froid extérieur du spa flottent 300 balles anti-stress en forme de seins et des centaines de fleurs en plastique.
La féérie du funèbre
Promenons-nous dans les bois… après le passage du loup! Une ambiance mystérieuse règne sur un lieu de désolation où le temps semble s’être figé dans une féérie funeste. A la lueur des guirlandes lumineuses, nous entrons dans l’univers onirique de l’artiste Christine Boillat.
Et… plouf! David Hockney
Comment ne pas évoquer A Bigger Splash (1967) de David Hockney dans notre chronique estivale? En véritable ode au style de vie californien, cette oeuvre magnifie l’architecture moderne de cette région, avec ces villas aux lignes épurées comme la Stahl House de Pierre Koenig.
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