Le travail de Joëlle Cabanne englobe divers médiums : la photographie, le dessin, l’art sur papier et la peinture. Depuis 2018, l’artiste travaille avec de l’encre indigo sur toile, mais surtout sur papier. Parfois aussi en plus grandes dimensions pour des expositions ou des fresques. Depuis 2023, le choix du papier devient de plus en plus spécifique. Avec GENIUS LOCI, il s’agit aujourd’hui d’avantage de la modélisation d’un objet qui crée des visions que de ma propre représentation de l’environnement. Le washi teinté d’encre indigo plié, froissé, détrempé, devient un petit environnement, de sorte qu’une topographie ouverte apparaît dans laquelle chacun peut se projeter.
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Genius Loci, Le génie du lieu – Joëlle Cabanne
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Pour ce deuxième défilé à la Fashion Week de Paris, Matières Fécales poursuit son odyssée créative avec des silhouettes hors du commun. Dans une ambiance gothique féérique avec Nikki Lilly comme mannequin invitée, la maison poursuit son odyssée queer et inclusive en proposant des tenues spectaculaires transformant les personnes qui les portent en œuvres d’art vivantes.
Cet automne, la galerie Gowen consacre une exposition collective au corps faisant dialoguer le travail de cinq artistes internationaux. Par l’autoportrait, certains expriment des histoires personnelles, tandis que d’autres évoquent la mémoire de faits historiques.
Cette année, l’artiste Serwan Baran concentre son travail autour d’un sujet poignant : celui de l’exode. Dans un accrochage de nouvelles toiles à la galerie Analix Forever, il narre la fuite de milliers d’hommes dans les aéroports du Moyen-Orient. Toujours puisé dans son vécu, il dépeint le désespoir et l’incertitude à travers les postures et les mouvements de ses personnages. Pour cet artiste avant tout humaniste, envahir un pays en pensant instaurer des droits est un leurre. La guerre est toujours une défaite, une trahison à la vie.