Le Chat Perché
Retrouvez tous les articles de cet auteur.Oscillant entre peinture et poésie, les toiles de l’artiste franco-suisse Amélie Ducommun nous plongent dans des souvenirs personnels. Dans une composition abstraite, les mouvements aquatiques, le bois et d’autre matière minérale sont rythmés par des plantes trouvées au fil de ses recherches sur les cours d’eau.
Port du maillot de bain… facultatif! Pas besoin de se mouiller pour piquer une tête dans la piscine de Leandro Erlich puisque ici, tout est illusion.
Chez Phinn Sallin-Mason, les caractéristiques attribuées aux genres s’inversent et rendent leurs frontières floues. L’artiste, effectuant actuellement un bachelor en photographie à l’Ecal, aime brouiller les pistes et amène à nous interroger sur les constructions sociales qui nous enferment dans des rôles bien souvent stéréotypés.
Si l’âme du monde devait prendre forme sous nos yeux, on espérerait qu’elle charrierait la beauté de l’humanité, qu’elle serait porteuse d’un espoir dont nous avons plus que jamais besoin. Les artistes Philippe Fretz, Michael Rampa et Jérôme Stettler se sont penchés sur des thèmes universels en créant un dialogue ouvert entre leurs œuvres. Retour sur le vernissage du 1er juin.
Et si les objets de Still Life #60 de Tom Wesselmann se retrouvaient dans notre besace ? Cet été, Le Chat Perché vous plonge dans l’univers insouciant des années 1970 avec des accessoires qui rappellent cette installation iconique. Considéré comme l’un des chefs de file du Pop Art, bien qu’il n’aimât pas cette étiquette, l’artiste américain a créé durant cette période des tableaux que l’on peut décrocher du mur, rendant de la sorte floue la frontière entre peinture et sculpture.
Dans ses toiles aux teintes acidulées, l’artiste et cinéaste américain Harmony Korine fusionne toutes ses pratiques artistiques allant de la photographie à la vidéo. Dans une atmosphère hypnotique, le spectateur est désorienté.
Et si les arbres portaient des noms ? Chez l’illustratrice Florence Schlegel Schürch, ils sont bien plus que des anonymes. Débutée à Zanzibar, cette série de dessins naît d’une véritable passion pour les arbres. En dressant leurs portraits, l’artiste met en lumière leur individualité à travers un dessin méticuleux et des couleurs attrayantes.
Saviez-vous que le modèle de l’Ophélie de Millais était Elizabeth Siddal, une poétesse et artiste talentueuse dont le travail reste à ce jour assez méconnu du grand public ?
Cette œuvre tridimensionnelle rassemble plusieurs éléments essentiels à l’œuvre de Sandrine Pelletier: bois brûlé et tons chauds rappelant la finitude de l’être humain et du monde. Le format de cette œuvre s’inspire de la scène d’introduction du film au titre éponyme de Francis Ford Coppola, une adaptation de la nouvelle Heart of Darknessde Joseph Conrad, où les personnages évoluent dans la jungle du Vietnam. Réalisée à l’aide d’acide sur du cuivre, cette œuvre rapelle l’héliogravure, une technique d’impression destinée aux grands volumes tels que les journaux. Comme si cette œuvre avait pour vocation de témoigner des feux de fôret, véritable fléau du au réchauffement climatique.
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