Le Chat Perché
Retrouvez tous les articles de cet auteur.Durant les années 1970, l’artiste autrichienne Kiki Kogelnik, alors établie à New York, opère un revirement à son œuvre. Délaissant l’abstraction pour s’intéresser au corps, et tout particulièrement à celui de la femme, elle crée des œuvres tintées d’humour par le prisme du féminisme.
Qui a dit qu’il était impossible d’exposer son travail lorsqu’on est un jeune artiste ? La galerie Fabienne Levy comble un vide en mettant en place le programme Space Invasion, rendant visibles les étudiants d’art visuel fraîchement diplômés.
Revenue au goût du jour en cette saison estivale, la jupe plissée aiguise la tendance du tenniscore. Il est quasiment inévitable de passer outre cette pièce iconique, surtout lorsque les Jeux Olympiques se déroulent à Paris.
Chez Tami Ichino, les sujets perdent leur signification initiale et deviennent une notion poétique. Dans un second niveau de lecture, ils narrent des histoires personnelles suspendues dans le temps dont l’esthétique est empreinte d’un imaginaire calme et silencieux.
Durant les années 1970, l’artiste autrichienne Kiki Kogelnik, alors établie à New York, opère un revirement à son œuvre. Délaissant l’abstraction pour s’intéresser au corps, et tout particulièrement à celui de la femme, elle crée des œuvres tintées d’humour par le prisme du féminisme.
Oscillant entre peinture et poésie, les toiles de l’artiste franco-suisse Amélie Ducommun nous plongent dans des souvenirs personnels. Dans une composition abstraite, les mouvements aquatiques, le bois et d’autre matière minérale sont rythmés par des plantes trouvées au fil de ses recherches sur les cours d’eau.
Port du maillot de bain… facultatif! Pas besoin de se mouiller pour piquer une tête dans la piscine de Leandro Erlich puisque ici, tout est illusion.
Chez Phinn Sallin-Mason, les caractéristiques attribuées aux genres s’inversent et rendent leurs frontières floues. L’artiste, effectuant actuellement un bachelor en photographie à l’Ecal, aime brouiller les pistes et amène à nous interroger sur les constructions sociales qui nous enferment dans des rôles bien souvent stéréotypés.
Si l’âme du monde devait prendre forme sous nos yeux, on espérerait qu’elle charrierait la beauté de l’humanité, qu’elle serait porteuse d’un espoir dont nous avons plus que jamais besoin. Les artistes Philippe Fretz, Michael Rampa et Jérôme Stettler se sont penchés sur des thèmes universels en créant un dialogue ouvert entre leurs œuvres. Retour sur le vernissage du 1er juin.
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